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Comment éviter le plagiat ?


Pour prévenir ce phénomène, le Service des bibliothèques de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) propose un module de formation et d'autoformation sur le plagiat et les règles de citation.
Ce module comporte cinq parties.
Une première définit la notion de plagiat et livre quelques exemples, c'est-à-dire sept pratiques qui peuvent être qualifiées de plagiaires :
  1. "Copier textuellement un passage d’un livre, d’une revue ou d’une page Web sans le mettre entre guillemets et/ou sans en mentionner la source;
  2. Insérer dans un travail des images, des graphiques, des données, etc. provenant de sources externes sans indiquer la provenance;
  3. Résumer l’idée originale d’un auteur en l’exprimant dans ses propres mots, mais en omettant d’en indiquer la source;
  4. Traduire partiellement ou totalement un texte sans en mentionner la provenance;
  5. Réutiliser un travail produit dans un autre cours sans avoir obtenu au préalable l’accord du professeur;
  6. Utiliser le travail d’une autre personne et le présenter comme le sien (et ce, même si cette personne a donné son accord);
  7. Acheter un travail sur le Web."

Cette première partie livre aussi des chiffres sur le plagiat et propose les moyens de l'éviter.
La deuxième partie titrée "Citer correctement ses sources" n'est qu'une suite logique de la première. Y sont présentées les règles de la citation et de la paraphrase.
Les trois dernières parties proposent des conseils, un quiz et un résumé à l'utilisateur.
Ce module est offert sous une licence Creative Commons. Il sera utile aussi bien aux étudiants qu'aux formateurs qui pourront s'en servir dans le cadre de l'apprentissage de la culture informationnelle.
Sources : ici

Carte  heuristique sur les digitales natives Utilisation de Facebook


Publish at Calameo or read more publications.


Vous reprendrez bien un peu de curation à la sauce juridique ?




Décidément, vous allez voir que la curation est un sujet d’une grande richesse juridique, mais d’une grande complexité également…
Pour assaisonner un peu vos pratiques de curation, je vous recommande la sauce juridique ! (Hot Sauce Bar. Par Josh Koonce. CC-BY-NC-ND. Source Flickr)

L’épineuse question du droit applicable

Dans mon billet, je pars du principe que le droit français est applicable aux pratiques de curation et de propulsion de contenus sur Internet. Murielle Cahen fait de même dans son analyse des boutons de partage sur Facebook.
Or dans un commentaire sur Twitter, Clarinette02 soulève de manière fort pertinente la question de la loi applicable, attendu que ces pratiques se déroulent en ligne et impliquent par définition la circulation des contenus, d’une manière parfois difficilement rattachable à un pays donné :
La question est assez difficile à trancher et renvoie aux règles relatives au droit applicable en matière de dommages causés en ligne. Imaginons que je décide de propulser un billet de blog écrit en français, par le biais du service Scoop.it (service développé par la société française Goojet, basée à Toulouse), en l’illustrant avec une image copyrightée piochée sur Flickr (société américaine, mais disposant d’une filiale française), dont les droits appartiennent à un utilisateur américain, quelle loi sera applicable si le titulaire de droit en question vient à réclamer pour l’usage de sa photo ?
Hum… moment d’hésitation…
Heureusement, nous avons une jurisprudence récente de la Cour de cassation, qui vient apporter quelques éléments de réponse. Se prononçant à propos d’une affaire de contrefaçon de marque sur eBay en mars dernier, la Cour de cassation devait déterminer si les juges français étaient compétents alors qu’eBay réclamait que l’affaire soit portée devant la juridiction américaine.
La Cour de cassation, en application de l’article 46 du Code de Procédure Civile, a estimé que les juges français étaient compétents, à condition :
  • que le site internet en cause soit accessible depuis le territoire français ;
  • que le contenu litigieux soit destiné au public de France (c’est-à-dire qu’il présente un lien substantiel, suffisant ou significatif avec le public français).
Si la première condition est assez facile à vérifier (pour reprendre mon exemple, Scoop.it est bien accessible depuis la France), la seconde – le lien substantiel avec le public français – paraît plus difficile à établir, et il faudra procéder en collectant des indices révélateurs de ce lien : le contenu est-il en français ; l’interface est-elle en français ; la personne qui commet l’acte dommageable est-elle française ; l’entreprise qui développe le service a-t-elle son siège en France, etc ?
Il s’agira d’apprécier la situation au cas par cas à chaque fois et il me semble qu’il sera assez difficile de déterminer de manière certaine si le droit français s’applique à un litige. J’ai l’impression tout de même que les juges français tendent à revenir à une application plus fréquente du droit hexagonal pour les litiges naissants sur Internet (voir par exemple la jurisprudence sur Google Book, confirmée par la décision SAIF c. Google rendue en appel à propos de Google Images en janvier dernier).
Concernant les réseaux sociaux, on dispose également d’un certain nombre de décisions de justice, reconnaissant la compétence des tribunaux français et l’application du droit français, en matière de licenciement pour des propos tenus sur Facebook par exemple, ou d’usurpation d’identité. Il me semble qu’un même raisonnement pourrait être suivimutadis mutandis pour des actes de contrefaçon survenus en matière de propulsion de contenus sur Facebook. Je n’ai pas trouvé de jurisprudence, mais quand on voit des cas comme celui-ci par exemple, nous ne devrions pas avoir à attendre longtemps avant d’être fixé.
La question de la loi applicable est essentielle, car si le droit américain pouvait être revendiqué pour litiges mettant en cause des pratiques de curation ou de propulsion (y compris devant les juges français), les choses seraient sans doute nettement plus ouvertes à cause du fair use (usage équitable), qui permet la reprise de contenus de manière plus large que le droit d’auteur français.

Curation, propulsion et droit du lien hypertexte

Sous mon billet de dimanche dernier, Didier pose la question des rapports entre propulsion, curation et liens hypertexte :
C’est quand même étonnant que le droit en reste à des questions de « citation » ou de « reproduction ». A aucun moment, la loi ne prend en compte la spécificité du lien hypertexte.
Or c’est le lien qui fait toute la différence, dans la mesure où on ne fait pas que citer un titre, on renvoie les lecteurs à la page originale, et donc on amène du trafic sur le site source. Ca n’a rien à voir avec une revue de presse classique qui ne fait que citer l’article d’un autre journal : le lecteur n’a pas un accès immédiat au journal cité. et celui-ci n’y gagne pas grand chose. Avec le lien hypertexte, l’article cité gagne immédiatement un lecteur. Ce n’est quand même pas rien…
Il est certain que la propulsion entretient un rapport direct avec le lien hypertexte, et que celui-ci bénéficie d’une jurisprudence assez libérale, qui a consacré au fil du temps une véritable « liberté de lier »Plusieurs décisions de justice ont d’ailleurs récemment conforté cette liberté en affirmant qu’établir des liens profonds vers un site n’était pas en soi constitutif d’un acte de contrefaçon.
Néanmoins, cette liberté connaît également des limites, qui pourraient éventuellement s’appliquer à des pratiques de curation.
Le droit des bases de données, par exemple, peut entrer en conflit avec la liberté d’établir des liens hypertexte :
[...] les titres d’articles sont considérés comme des œuvres protégées par le droit d’auteur. Leur reproduction, pour illustrer un lien effectué vers tel ou tel article, peut néanmoins être couverte par le droit de courte citation, sous réserve de citer la source et le nom de l’auteur. Ceci étant, le fait de reproduire une certaine quantité de titres appartenant à une même publication pourra relever du droit des bases de données et, donc, faire l’objet d’une interdiction par l’éditeur de site (Forum des droits de l’internet)
Établir une multitude de liens vers un même site internet peut également être considérécomme un acte de parasitisme, susceptible de causer un dommage, et les plateformes de curation peuvent prêter le flanc à des accusations de ce type :
Certaines plateformes de curation vont beaucoup plus loin qu’un Twitter qui fait un lien directement vers le contenu original. Certaines plateformes de curation proposent la fonctionnalité « share » de rediffusion sur différents réseaux sociaux en faisant un lien vers la plateforme de curation qui héberge le contenu plutôt que vers l’article original. Il s’agit donc d’une captation de trafic potentiel, et donc de parasitisme économique (Frédéric Martinet. La curation, c’est de la merde).
Une autre question qui se pose est la manière dont les sites de curation font apparaître les contenus vers lesquels ils pointent. Sur Pearltrees par exemple, en cliquant sur un contenu « perlé », on aboutit non pas directement à la page originale, mais à un cadre qui reproduit son contenu, tout en laissant l’utilisateur dans l’interface de Pearltress (voir ci-dessous);
Ce mode d’affichage n’est pas si éloigné de ce qu’on appelle le « framing« , qui a déjà fait l’objet de plaintes en justice et que l’on déconseille généralement lorsque l’on veut établir des liens hypertexte en restant dans le cadre de la légalité. Cependant, dans la juriprudence dijOnscOpe que je citais dimanche dernier, les juges du TGI de Nancy ont admis de manière assez libérale la pratique du framing par un site d’information et Pearltrees pourrait vraisemblablement bénéficier de cette ouverture si les mêmes principes lui étaient appliqués.
Ceci étant dit, il faut sans doute se garder d’assimiler trop rapidement les nouvelles formes de partage de contenus avec la pratique des liens hypertexte. Olivier Ertzscheid a sans doute raison d’alerter par exemple sur le fait  qu’un like sur Facebook n’a pas du tout la même signification d’un lien hypertexte classique, et cela se traduit aussi juridiquement, en terme d’approriation des contenus et « d’équité » dans le mode de liaison :
To LINK. Lier ou ne pas lier. Tel est le principe des liens hypertextes. Des liens qui restent consubstantiels aux contenus dans lesquels ils s’inscrivent pour mieux les décrire, pour mieux les qualifier, pour mieux les « orienter ». Les liens n’appartiennent à personne [...]
To LIKE. « J’aime » au lieu de « Je lie ». J’aime ou je n’aime pas. Un monde binaire. Entièrement binaire. Un monde sous-cloche. Un bouton-poussoir propriétaire, centré, exclusif, sans réciprocité, sans partage, ou avec la centralisation comme préalable non-négociable au partage, avec la centralisation comme condition du partage.
Curation, revue de presse ou panorama de presse ?
Dans mon billet, je me demandais dans quelle mesure l’exception de revue de presse pouvait s’appliquer aux pratiques de curation. Jérôme Le Coeur (auteur du BlogDécryptages : droit, nouvelles technologies…) me fait remarquer dans un commentaire que la curation correspond davantage à la définition du panorama de presse qu’à celle de la revue de presse :
Je parlerais davantage de panorama de presse à propos de la curation. Le panorama de presse est une vrai compilation d’articles sur un sujet donné. La revue de presse est plus élaborée puisque les extraits des œuvres citées sont incorporées dans une œuvre composite qui n’existerait pas sans les citations.
Remarque tout à fait justifiée. Les sites de curation permettent de réaliser des objets qui ressemblent beaucoup à ce que le CFC considère comme des panoramas de presse :
Assemblage de reproductions d’articles ou d’extraits d’articles de presse. Il a pour objectif de rendre compte, grâce à des sources extérieures, de l’actualité du secteur d’activité, des produits ou de l’environnement concurrentiel de celui qui le réalise. Le panorama de presse relève du domaine de la compilation et est plus connu sous l’appellation impropre de  » revue de presse « , avec lequel il ne doit cependant pas être confondu.
Rapprocher la curation du panorama de presse contribue certainement à clarifier la qualification juridique de ces pratiques, mais cela ne permet pas de leur trouver un fondement juridique. Le CFC en effet propose des contrats pour permettre à des centres de documentation de réaliser des panoramas de presse dans le cadre de la légalité. Il a reçu pour cela un mandat de la part d’un grand nombre d’organes de presse. Mais les autorisations délivrées (à titre payant) ne permettent la diffusion des panoramas qu’en intranet et on ne peut envisager d’étendre un tel système à la curation, puisqu’il faudrait que tous les sites internet délivrent à un organisme de gestion collective un mandat pour les réprésenter…
Il existe peut-être un piste du côté des panoramas de presse réalisés par le biais de liens hypertexte, mais elle reste incertaine et risquée (voyez ici).
Quel statut juridique pour les produits de la curation ?
Frédéric Martinet a écrit cette semaine sur le site Actulligence un billet virulent, intitulé « La curation, c’est de la merde !« , qui critique fortement ces pratiques, en prenant notamment pour arguments qu’elles violent le droit d’auteur :
La curation c’est prendre du contenu à un endroit et le mettre à un autre. Rien d’autre. Or rappelons le, prendre du contenu sans en avoir l’autorisation constitue une atteinte au droit d’auteur. Seul le droit de citation peut s’appliquer mais ce dernier est soumis à un certain formalisme qui n’est jamais respecté sur les plateformes de curation.
Certes les plateformes de curation permettent également de rédiger du contenu, de faire une synthèse d’un article MAIS personne ne le fait car c’est si simple de copier, de rediffuser et de ne pas créer.
Je serais beaucoup plus nuancé que l’auteur de ce billet sur le fond, car je pense que les pratiques que l’on recouvrent par le terme de « curation » peuvent permettre de produire une réelle valeur ajoutée sur les contenus. De plus, il est certainement abusif de dire que TOUTES les pratiques de curation constituent des violations du droit d’auteur. J’ai essayé de montrer dans mon billet de la semaine dernière qu’à mon sens, c’était surtout les images qui soulevaient un problème juridique sérieux, mais pour les titres, les textes et les liens, il existe une assez large marge de manoeuvre pour la curation.
Par ailleurs, d’un point de vue strictement juridique, est-il exact de dire que « La curation c’est prendre du contenu à un endroit et le mettre à un autre. Rien d’autre. » ou encore « L’acte de la curation est un acte à très très très faible valeur ajoutée ! La preuve s’il en est : il pourrait être totalement automatisée…« . Si je traduis juridiquement ces assertions, cela signifierait que les objets produits par le biais des services de curation ne pourraient jamais être qualifiés « d’originaux » (au sens où le droit d’auteur entend cette notion) et donc ne pourraient pas bénéficier du statut des « oeuvres de l’esprit« .
Ces affirmations sont à mon sens excessives. Le droit d’auteur reconnaît de longue date que les compilations, recueils ou anthologies peuvent constituer des oeuvres de l’esprit originales, portant « l’empreinte de la personnalité » de ceux qui les réalisent, et on peut imaginer qu’un tel raisonnement pourrait s’appliquer pour les produits de la curation (art. L.112-3 CPI) :
Les auteurs de traductions, d’adaptations, transformations ou arrangements des oeuvres de l’esprit jouissent de la protection instituée par le présent code sans préjudice des droits de l’auteur de l’oeuvre originale. Il en est de même des auteurs d’anthologies ou de recueils d’oeuvres ou de données diverses, tels que les bases de données, qui, par le choix ou la disposition des matières, constituent des créations intellectuelles.
Considérer que la curation n’apporte jamais aucune valeur ajoutée, c’est à mon sens confondre la notion d’originalité avec celle de nouveauté, or le droit fait la distinction entre les deux.

Bien qu'il ne reprenne que des contenus extérieurs, ce Pearltrees Free Web est sans doute une création suffisamment complexe et élaborée pour mériter la qualification "d'oeuvre de l'esprit"
La question s’était déjà posée à vrai dire à propos du statut des « arbres de perles » du site Pearltrees. Jérôme Le Coeur avait rédigé un billet – Petite contribution à la qualification des Pearltrees – dans lequel il estimait que les arbres pouvaient se voir reconnaître la qualité d’oeuvres de l’esprit, en les assimilant par exemples à « des cartes, des croquis ou des bases de données« . La même conclusion se retrouvait chez Michèle Battisti sur le site de l’ADBS :
Même réalisé à l’aide d’un outil, cet arbre est bien une création de l’esprit. On peut d’ailleurs le rattacher aux plans qui figurent dans la liste non exhaustive des œuvres de l’esprit dans le Code de la propriété intellectuelle (CPI). L’arbre de perles répond parfaitement aussi à la définition de la base de données : il sera protégé par le droit d’auteur s’il est original dans sa structure et dans le choix des données
Peu importe la qualification que vous donnez à votre création, il faut avant tout qu’elle soit originale, c’est-à-dire portant l’empreinte de son auteur. Peu importe aussi la qualité esthétique du résultat, c’est l’agencement de l’arbre de perles qui doit être original, les idées elles-mêmes pouvant être reprises pour être présentées d’une autre manière.
Tous les produits de la curation ne seront pas reconnus comme originaux, et ils le seront effectivement d’autant moins que leur création sera automatisée, mais on ne peut exclure a priori que ces plateformes, permettant « d’éditorialiser » les contenus du web débouchent sur la création d’oeuvres de l’esprit.
Dans son billet sur Culture Visuelle « Tous éditeurs : l’éditorialisation sur les réseaux sociaux« , Grégory Divoux montre qu’un geste aussi basique que le partage d’un lien sur Facebook confronte l’utilisateur au choix d’illustrer son post par un grand nombre possible d’images, ce qui confère au « like » une certaine dimension éditoriale, permettant à l’originalité de s’exprimer :
Toutes proportions gardées et sachant bien qu’il ne s’agit là que de simples vignettes de quelques dizaines de pixels de large, me voici donc à chaque fois dans la même position qu’un éditeur devant composer une une : comment configurer au mieux le titre d’un article, un court résumé, l’image devant l’illustrer et son contenu ? Comment gérer les interactions entre ces quatre éléments ?
Curation, propulsion et contenus sous licence libre
Dans son billet, Frédéric Martinet fait également un lien entre la curation et les licences libres :
Finalement aujourd’hui je trouve surprenant de trouver des professionnels de l’information qui ont parfois milité pour le partage de la création sous forme de licence CCommon et ne se préoccupent même plus de savoir (pour certains) s’ils n’enfreignent pas les CCommons.
Sur ce point, je veux bien le rejoindre, mais moins pour dire que la curation peut enfreindreles licences Creative Commons que pour rappeler que les contenus sous licences libres peuvent offrir un cadre légal à ces nouvelles pratiques.
Mon billet de la semaine dernière a par exemple été « repropulsé » sur la plaforme OWNI, et j’ai beaucoup ri en voyant comment l’équipe de la soucoupe avait introduit l’article sur Facebook :
En réalité, le fonctionnement d’un site comme OWNI montre que l’on peut tout à fait concilier la propulsion et l’éditorialisation de contenus en ligne avec le respect du droit d’auteur. Mon article original est placé sous licence Creative Commons CC-BY, qui autorise la rediffusion à l’extérieur de S.I.Lex. OWNI peut donc le reprendre de manière très fluide et même le modifier, en changeant les images ou les titres. Pour l’illustration, L’équipe de la soucoupe puise généralement dans les images sous licence libre de Flickr, en rappelant clairement le nom des auteurs, avec un lien hypertexte. En faisant cela, les contenus restent ouverts, car OWNI utilise la licence CC-BY-NC.
A vrai dire, tant que l’on reste dans le cadre des licences libres, propulsion et curation ne posent aucune difficulté juridique réelle (à la condition toutefois de bien respecter les conditions de réutilisation posées par les licences). Une des solutions pour développer ces pratiques consistent d’ailleurs à mon avis traiter le problème à la racine, en plaçant le plus de contenus possibles, articles, billets et photographies sous licences libres.
Pour illustrer les choses par l’exemple, je me suis amusé à ouvrir un compte sur Scoop.it (Les Eclats de S.I.Lex) et j’ai essayé de voir comment repropulser un contenu dans le respect du cadre légal. C’est à vrai dire très simple, même si cela demande un peu de travail. Il suffit en plus du titre et du lien, d’accompagner le contenu d’un chapô de son propre cru, et d’aller choisir une image sous licence libre pour l’illustration, en créditant l’auteur et en faisant un lien en retour. Quelques minutes supplémentaires tout au plus, et au-delà du respect du droit, cela oblige à apporter une véritable valeur ajoutée.
J’ai testé pour vous : la curation dans le respect du cadre légal !
Je vais tâcher de continuer à alimenter ce Topic Scoop.it, en me fixant la contrainte de respecter le droit d’auteur et d’utiliser au maximum pour ce faire des contenus ouverts.
Sois sage, ô mon droit moral, et tiens-toi plus tranquille…
Je termine pour finir en adressant une pensée à Eric Walter, secrétaire général de l’Hadopi, qui s’essaie visiblement lui aussi à la curation en publiant un Paper.li Creation in progress(on fait ce qu’on peut pour redorer son image…).
Quelle ne fut pas ma surprise de voir aujourd’hui que j’avais été « éditorialisé » ou « curaté » à l’insu de mon plein gré par Dracula en personne et que mon avatar et mon pseudo se retrouvaient associés au nom d’@EricWalR, ce qui n’est franchement pas pour me plaire comme vous devez vous en douter…

Calimaq "curaté" dans le Paper.li d'Eric Walter. Eurk ! Démangeaison soudaine au droit moral...
Non content de trouver assez pathétique ce genre de démarche de com’, il y a des jours où l’on aurait bien envie de prendre le droit au pied de lettre, pour dégainer son droit moralaussi lestement qu’un ayant droit d’Hergé et intenter un procès à la noix, juste pour voir, une fois…
Comme il doit être bon, dans un cas pareil, l’euro symbolique en dommages et intérêts !

Les attitudes appropriées 



 

Les outils du formateur

 

Connected Learning

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CAPITALISATION ITYPA

Le connectivisme

Par Stephen Downes Février 5, 2007
Au fond, connectivisme C'est la thèse que la connaissance est distribuée à travers un réseau de connexions, et donc que l'apprentissage consiste en la capacité de construire et parcourir ces réseaux.
Elle partage avec quelques autres théories une proposition de base, que la connaissance n'est pas acquis, comme s'il s'agissait d'une chose .
C'est pourquoi les gens voient une relation entre connectivisme et le constructivisme ou l'apprentissage actif (pour n'en nommer un couple).
Où connectivisme diffère de ces théories, je dirais, c'est que connectivisme nie que la connaissance est propositionnelle.
C'est-à-dire que ces autres théories sont «cognitiviste», dans le sens où ils représentent la connaissance et de l'apprentissage comme étant fondé sur la langue et la logique.
Connectivisme est, en revanche, «connexionniste».
La connaissance est, dans cette théorie, littéralement l'ensemble des connexions formées par des actions et de l'expérience.
Il peut être constitué en partie des structures linguistiques, mais il n'est pas essentiellement basé sur des structures linguistiques, ainsi que les propriétés et les contraintes des structures linguistiques ne sont pas les propriétés et les contraintes de connectivisme.
Dans connectivisme, une phrase comme «sens construire» n'a pas de sens. Connexions forment naturellement, grâce à un processus d'association, et ne sont pas «construit» par une sorte d'action intentionnelle.
Et «sens» est une propriété du langage et de la logique, ce qui dénote propriétés référentielles et de représentation des systèmes de symboles physiques.
Ces systèmes sont des épiphénomènes de (certains) des réseaux, et non descriptive ou essentiels à ces réseaux. Par conséquent, dans connectivisme, il n'y a pas vraiment de concept de transfert de connaissances, de rendre les connaissances ou l'acquisition de connaissances.
Au contraire, les activités que nous entreprenons lorsque nous menons des pratiques afin d'apprendre plus de grandir ou de développer nous-mêmes et notre société dans certains cas (connecté) façons.
Cela implique une pédagogie qui (a) cherche à décrire «réussies» des réseaux (identifiés par les leurs propriétés, que j'ai qualifiés de la diversité, l'autonomie, l'ouverture et la connectivité) et (b) a pour objectif de décrire les pratiques qui conduisent à de tels réseaux, à la fois dans l'individu et dans la société (que j'ai qualifiés de modélisation et de démonstration (sur la part d'un enseignant) et de la pratique et de la réflexion (de la part de l'apprenant)).
Réponse aux commentaires de Tony Forster Un lien vers mon article « Une introduction à la connaissance conjonctif »vous aidera avec certains des commentaires de ce billet (long , désolé).
Tony écrit: «La connaissance n'est pas l'apprentissage ou l'éducation, et je ne suis pas sûr que le constructivisme ne s'applique qu'aux propositionnelle apprentissage, ni que tous les systèmes de symboles que nous pensons avec des caractéristiques linguistiques ou propositionnel. " Je pense qu'il serait très difficile d'en tirer une théorie cohérente du constructivisme qui n'est pas basé sur un système avec des caractéristiques linguistiques ou propositionnel. (Ou comme je préfère dire, une «règle basée sur un système de représentation»).
Tony poursuit: «Le principe constructiviste de la construction de la compréhension est un principe important, car il a des implications directes pour la pratique en classe. Pour moi, il va beaucoup plus loin que propositionnelle ou des systèmes de symboles. linguistiques "
Qu'est-ce que c'est pour «construire une compréhension« si elle n'implique pas: - un système de représentation, tels que la langue, la logique, les images, ou un ensemble autre symbole physique (c.-, une sémantique) - règles ou mécanismes pour la création d'entités de ce système de représentation (c.-à-, une syntaxe)?
Encore une fois, je ne pense pas que vous obtenez une théorie cohérente constructiviste sans que l'un d'entre eux. Je suis toujours ouvert à corriger sur ce point, mais je voudrais voir un exemple.
Tony poursuit: «Je suis troublé par votre affirmation selon laquelle" dans connectivisme, il n'y a pas vraiment de concept de transfert de connaissances, de rendre les connaissances ou l'acquisition de connaissances " Je crois que si Connectivisme est une théorie de l'apprentissage et non pas seulement une théorie connectivité, il devrait aborder le transfert de comprendre, ce qui rend la compréhension et de la compréhension. "
Cela nous ramène à la base de la distinction entre le constructivisme et connectivisme (à mon avis, au moins).
Dans un système de représentation, vous avez quelque chose, un symbole physique, qui se trouve dans une relation un-à-un avec quelque chose: un peu de connaissances, une «compréhension», quelque chose qui s'apprend, etc
Dans les théories de représentation, on parle à propos de la création («décision» ou «bâtiment») et le transfert de ces bribes de connaissances.
Ceci est considéré comme un processus que les parallèles (ou dans les théories non avertis, est ) la création et le transfert d'entités symboliques.
Connectivisme n'est pas une théorie représentationnelle. Il ne postule pas l'existence de symboles physiques debout dans une relation de représentation de bribes de connaissances ou de compréhension.
En effet, il nie qu'il y ait des morceaux de connaissance ou de compréhension, et encore moins qu'ils puissent être créés, représentés ou transférées.
C'est le cœur de connectivisme (et sa cohorte en informatique, connexionnisme).
Qu'est-ce que vous parlez comme un «compréhension» est (à une meilleure approximation) distribués à travers un réseau de connexions. De «savoir que P 'est (approximativement) à« avoir un certain ensemble de connexions neuronales.
Pour sait pas que P 'est, par conséquent, d'être dans un certain état ​​physique - mais, de plus, celui qui est unique à vous , et de plus, celui qui est impossible à distinguer des autres états physiques avec lesquelles elle est co-mêlés.
Tony continue, "Connectivisme doit encore examiner le dur combat au sein de la pensée profonde, de créer une compréhension. C'est plus que le processus de faire des liens." non, il n'est pas plus que le procédé de fabrication des connexions.
C'est pourquoi l'apprentissage est à la fois si simple qu'il semble qu'il devrait être facile à expliquer et si complexe qu'il semble défier explication (cf. Hume à ce sujet).
Comment l'apprentissage - quelque chose de si fondamental que les enfants et les animaux peuvent le faire - défient toute explication?
Dès que vous font de l'apprentissage un processus intentionnel (c'est-à-dire un processus qui implique la création délibérée d'une représentation) que vous avez fait ces cas simples difficile, sinon impossible, de comprendre.
C'est pourquoi cela est hors de propos: «Par exemple, nous . pourrait se lancer dans l'apprentissage relié d'une manière qui qui oublie les leçons du constructivisme et de la nécessité pour chaque étudiant de construire leurs propres modèles mentaux d'une manière individualiste »
Le point est le suivant: - il n'existe pas de modèles mentaux en soi (c'est-à-pas systématiquement construit à base de règles des systèmes de représentation) - et ce qu'il est (ie., les réseaux connexionnistes) n'est pas construite (comme un modèle), il est cultivé (comme une plante)
Quand quelque chose comme ce qui est dit, les concepts les plus élémentaires comme «personnalisation» changer complètement.
Dans le «modèle» approche, la personnalisation signifie généralement plus : plus d'options, plus de choix, plus de types de tests, etc
Vous devez personnaliser . l'environnement (l'apprentissage) l'ajustement de l'élève Dans l'approche des «connexions», personnalisation signifie généralement moins : moins de règles, moins de contraintes.
Vous devez accorder à l'apprenant d'autonomie au sein de l'environnement. Il ya donc un certain sens, je pense, dans lesquels les conceptions des théories précédentes ne se traduisent bien en connectivisme, car, après tout, même les mots et les concepts fondamentaux acquièrent une nouvelle signification, vu de l' point de vue connectiviste. réponse (1) du projet de loi Kerr Kerr Bill écrit: «Il semble que la construction et la métacognition sont parlé dans la version de George, mais a rejeté ou ne parle pas dans la version de Stephen."
Eh bien, c'est un peu comme se faire des amis. entretiens George sur de décider ce que les gens se faire des amis utiles, comment faire des liens avec les amis, la construction d'un réseau de ces amis.
Je parle d'être ouvert aux idées, de communiquer vos pensées et vos idées, en respectant les différences et laisser les gens vivre leur vie. Ensuite, le projet de loi arrive et dit que George parle de se faire des amis, mais Stephen ignore tout simplement. projet de loi poursuit: «Soit la nouvelle théorie est destinée à remplacer les anciennes théories ...
Ou alors, la nouvelle théorie est destiné à compléter théories plus anciennes. Par mes lectures, Stephen dit l'ancien et George dit celui-ci, mais je ne suis pas sûr. " Nous voulons être plus précis.
Toute théorie postule l'existence de certaines entités et la non-existence des autres. L'exemple le plus célèbre est la gravitation de Newton, qui postulait l'existence de «masse» et de la non-existence d'une «impulsion».
J'utilise le langage de la «masse». George, afin de rendre son écriture plus accessible, (parfois) utilise le langage de la «dynamique». (C'est mon prendre, de toute façon). Réponse (2) de Bill Kerr Kerr Bill écrit: «Les mots / langue sont nécessaires pour soutenir de longues chaînes de prévision de la pensée, par exemple. pour maintenir une chaîne ou une combinaison de reconnaissance de formes.
Cela est vrai dans les échecs , par exemple, où le joueur utilise la notation d'échecs pour aider sa mémoire. " Ce n'est pas vrai dans les échecs. Une fois, j'ai joué un joueur d'échecs qui (étonnamment à moi) s'est avéré être beaucoup mon supérieur (il y avait longtemps auparavant).
J'ai demandé, "comment voulez-vous souvenir de toutes ces combinaisons?" Il a dit, "je ne travaille pas en termes de positions spécifiques ou des séquences spécifiques. Plutôt, ce que je fais, c'est de toujours passer à une position plus forte, une position qui peut être vu en reconnaissant les motifs sur la planche, considéré comme un tout. "
Vous voyez, c'est la différence entre une théorie cognitiviste et une théorie connexionniste.
Le cognitiviste pense profondément par le raisonnement à travers une longue série d'étapes.
Le non-cognitiviste pense profondément par «voir» plus complexe et les modèles les plus subtiles.
C'est une question de reconnaissance plutôt que de l'inférence.
C'est pourquoi cette critique, «Les mots / langue sont nécessaires pour soutenir de longues chaînes de prévision de la pensée», élude la question.
Il est portée contre une alternative qui est, par définition, non-linéaire, et par conséquent, ne produit pas les chaînes de la pensée. Réponse (3) de Bill Kerr Kerr Bill écrit: «Je ne vois pas comment ce que vous dites est utile sur le plan pratique, le test ultime pour toutes les théories. "
C'est un peu comme dire que la théorie de la gravitation ne serait pas vrai s'il n'y avait pas des ingénieurs de l'utiliser pour construire des ponts. C'est absurde, bien sûr. Je suis en train de décrire la façon dont les gens apprennent.
Si ce n'est pas «pratique», eh bien, ce n'est pas ma faute. Je n'ai pas fait les humains. En fait, je pense qu'il y a des conséquences pratiques, que j'ai essayé de détailler longuement ailleurs , et il serait tout à fait injuste d'accuser mon propre position théorique sans prendre en considération ce travail.
J'ai décrit, par exemple, les principes qui caractérisent les réseaux qui réussissent dans mon article récent présenté au ITForum (j'aime beaucoup la présentation Robin Good du papier - bien mieux mise en page et le graphisme).
Ceux-ci découlent de la théorie que je décris et d'informer un grand nombre de considérations gens comme George Siemens ont rendu des ordonnances en pratique.
Et j'ai aussi exposé, sous forme de slogan, une théorie de base de la pratique: «d'enseigner est de modéliser et de démontrer, à savoir est de pratiquer et de réfléchir. " Pas de raccourcis, pas de formules secrètes, si simple qu'elle pourrait difficilement être appelé une théorie.
Pas très original non plus. Cela aussi, c'est pas de ma faute. C'est comme ça que les gens enseigner et d'apprendre, à mon avis.
Ce qui veut dire que beaucoup du reste de celui-ci (oui, y compris «faire sens») est soit (a) flim-flammery, ou (plus couramment) (b) dirigé vers quelque chose autre que l'enseignement et l'apprentissage.
Comme, par exemple le pouvoir et le contrôle. projet de loi poursuit: «Stephen, votre position sur position intentionnelle semble similaire à la position Churchland sur le matérialisme éliminateur . " Vous avez raison, et je l'ai appelé pour lui dans certains de mes autres travaux. "D'autres philosophes matérialistes, tels comme Dennett, soutiennent que nous puissions discuter en termes de position intentionnelle à condition de ne pas conduire à remettre en question les interprétations mendicité. " Eh bien, oui, mais c'est difficile. C'est un peu comme dire: «Eh bien, pour des raisons de commodité, nous peut parler de fées et de la poussière de lutin comme s'ils étaient la cause des événements magiques dans nos vies. " Appelez-le «l'attitude magique".
Mais maintenant, quand on me donne une obligation de rendre compte des pouvoirs causaux des fées, ou quand j'ai besoin de montrer ce que la poussière de lutin est faite (au prix de ma théorie est incohérente)
Je suis dans un peu d'un cornichon (pas un vrai cornichon, bien sûr). Même chose pour «psychologie populaire» - le langage courant des connaissances et des croyances Dennett fait allusion. Qu'advient-il lorsque ces concepts, comme ils sont communément compris, constituent les fondements de la ma théorie? "La connaissance est une croyance vraie justifiée», dit la page web . Sauf, qu'il n'est pas.
Les problèmes Gettier faire ce assez clair. Donc, lorsqu'il est pressé de répondre à une question comme: «ce qui est de la connaissance» (comme si cela pourrait être une chose) ma réponse est quelque chose comme «une croyance nous ne pouvons pas." Comme «savoir» où Waldo est dans l'image après que nous l'avons trouvé.
C'est comme une reconnaissance. Et ce qui est «une croyance? Un certain ensemble de connexions dans le cerveau. Sauf pas que ces déclarations impliquent qu'il n'y a pas notamment chose qui est «un peu de connaissances» ou «une croyance».
Oui, vous pouvez parler en termes de connaissances et de croyances. Mais cela demande beaucoup de travail préparatoire avant qu'il ne devienne cohérent. projet de loi poursuit: «Même si nous ne comprenons pas» qui signifie la construction de «bien on peut encore conseiller les étudiants de certaines façons qui leur permettront de développer quelque chose qu'ils n'avaient pas auparavant.
« Qu'est-ce, comme les muscles? Sauf, ils avaient toujours muscles. Mieux muscles? Bon, ok. Mais alors, qu'est-ce que je peux dire? "Pratique". "Je pense qu'il est plus utile et pratique pour fonctionner sur cette base, par exemple, les conseils de Papert sur« apprendre à apprendre »qu'il appelait mathetics le fait toujours bien." Mais que faire si ils ont tort?
Que faire si ils sont exactement le mauvais conseil? Ou ailleurs, et si ils ont à voir avec les structures de pouvoir et de contrôle qui se sont développés dans nos environnements d'apprentissage, plutôt que d'avoir quelque chose à voir avec l'apprentissage tout? "Le jeu est OK" a à voir avec le pouvoir et le contrôle, par exemple . "Jouer favorise l'apprentissage» est un énoncé différent, beaucoup plus controversée, et encore plus descriptive, parce que jouer est (après tout) la pratique.
"L'émotionnel précède le cognitif." Sauf que je me dit par des psychologues que «le principe fondamental qui sous-tend l'ensemble de la psychologie, c'est que l'idée - l'idée - précède l'émotion." Et ainsi de suite. Chacun de ces aphorismes crédible son, mais lorsqu'il est maintenu en place à la lumière, ne sont pas bien fondées. Et, par conséquent, pas pratique.
Sources de Stephen Downes ici

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Affiner sa recherche sur Google

Affiner la recherche Google

De nombreuses astuces permettent d’optimiser la recherche sur Google. Des opérateurs aux paramètres du moteur de recherche, découvrez comment affiner la recherche sur Google !

Les symboles pris en compte par Google

Le moteur de recherche permet d’utiliser de nombreux opérateurs pour affiner une recherche. Ceux-ci fonctionnent sur le moteur classique, ainsi que sur Google Images et autres déclinaisons.

Les guillemets permettent de rechercher l’ensemble d’une expression.

Ajouter une tiret devant un mot permet de l’exclure de la recherche.

Ajouter un tilde (~) devant un mot permet d’inclure les synonymes de celui-ci.

Utiliser une étoile (*) à la place des mots inconnus permet de les trouver : très utile lorsqu’on est à la recherche d’une expression oubliée. Exemple : Galette * je t’aime.

L’opérateur OR permet de rechercher un mot ou un autre.

Ce que Google ne prend pas en compte

Si Google prend en compte un certain nombre d’opérateurs, il ne regarde absolument pas :

La casse (minuscule/majuscule).

Les signes de ponctuation en règle générale.

Les caractères spéciaux, sauf +, @, &, %, $, #, – et _.

Les mots de structure usuels (articles courts, conjonctions…).

Rechercher sur un seul site

L’opérateur site: permet de délimiter la recherche au site Internet de votre choix. Exemple : outils site:blogdumoderateur.com permet de découvrir les outils présentés sur votre blog préféré.

Il suffit de ne pas indiquer de mot-clef dans la requête pour visualiser l’ensemble des pages indexées.

Obtenir des résultats de recherche dépersonnalisés

Certains jugent la personnalisation des résultats comme étant une bonne chose, d’autres non. Quel que soit votre avis sur la question, il est possible de neutraliser les résultats. Il suffit d’ajouter l’opérateur &pws=0 à la fin de l’adresse URL des résultats de recherche.

Vous pouvez automatiser cette action en ajoutant un moteur de recherche dans Google Chrome par exemple, avec comme adresse :

https://www.google.com/search?q=%s&pws=0

Rechercher un type de fichier spécifique

Il peut être utile de limiter les résultats à un seul type de fichier. Il suffit d’ajouter filetype: suivi de l’extension choisie pour délimiter la recherche. Exemple : filetype:PDF pour rechercher des documents, ou filetype:PNGpour rechercher les images correspondantes sur Google Images.

Afficher un aperçu des pages

Avant de vous rendre sur un site référencé dans les résultats de recherche, vous pouvez afficher un aperçu visuel. Il suffit de survoler le résultat puis cliquer sur la double flèche présente à droite.

Les moteurs de recherche spécifiques

Google propose de nombreux moteurs de recherche spécifiques. Ils se révèlent particulièrement efficaces pour les recherches ciblées. Les principaux moteurs sont :

Google Scholar : pour les étudiants et les chercheurs principalement, le moteur permet de rechercher une étude ou un projet de recherche. Sur les épaules d’un géant !

Google Livres : comme son nom l’indique, un moteur pour rechercher des livres.

Google Vidéos : pour rechercher des vidéos, présentes ou non sur YouTube.

Google Blogs : pour parcourir les meilleurs blogs.

Panoramio : moins connu, ce service permet de découvrir des photos du monde entier.

Google Actualités : pour ne pas rater les dernières informations.

Personnaliser les résultats de Google Actualités

En parlant de Google Actualités, quelques astuces sont spécifiques à ce moteur de recherche. Il est par exemple possible de visualiser une édition propre à un pays donné, via le menu présent en haut à gauche du site. Ensuite, le menu de gauche permet de lire les articles à la Une, les plus lus, ou filtrés par catégorie (économie, sport, santé…), ainsi qu’une édition locale.

Mais ce n’est pas tout : vous pouvez totalement personnaliser votre édition. Avant tout de chose, vous devez activer l’édition personnalisée, via un lien placé tout en bas du site. Ensuite, il est possible de :

Personnaliser l’affichage de Google Actualités : quatre modes sont possibles (moderne, à la une, compacte et classique). Choississez celle que vous préférez !

Personnaliser les thèmes de Google Actualités : via un module présent dans la colonne de droite, vous pouvez affiner les thèmes à privilégier sur votre édition. Il est également possible d’ajouter un sujet d’actualité, ou encore créer une rubrique personnalisée. Cette fonctionnalité permet notamment d’ajouter une ou plusieurs éditions locales.

Ajuster les sources de Google Actualités : si vous préférez une source d’actualité à une autre, pas de panique ! Vous pouvez indiquer vos sites préférés, et ceux que vous appréciez moins. Il est possible de réinitialiser ce paramètre pour dépersonnaliser les résultats.

Personnaliser les paramètres de recherche

Google permet de modifier les paramètres des recherches :

Ajuster les filtres SafeSearch : ils permettent de filtrer le contenu à caractère sexuel explicite.

Activer la recherche instantanée : pour accélérer la recherche sur le moteur.

Ajuster le nombre de résultats par page : par défaut, Google affiche (plus ou moins) 10 résultats par page. Il est possible d’afficher 20, 30, 40, 50 ou même 100 résultats par page.

Ouvrir les résultats dans une nouvelle fenêtre : ou non, c’est vous qui voyez.

Bloquer certains sites : la liste des sites indésirables est modifiable et limitée à 500 sites.

Modifier la langue par défaut : vous pouvez également inclure plusieurs langues.

Modifier la géolocalisation : vous pouvez choisir une adresse, un code postal, une ville ou pays pour spécifier votre position géographique. Cette donnée modifie les résultats.

Activer ou non l’historique de recherche.

Désactiver la personnalisation liée à l’historique des recherches

Par défaut, Google utilise votre historique de recherche pour personnaliser les résultats obtenus. Vous pouvez très biendésactiver l’historique via les paramètres. De cette manière, les résultats de recherches ne seront plus liés à son historique. Il est également possible de vider son historique.

Rechercher les backlinks

Google permet de rechercher les liens qui pointent vers un site. Il suffit d’utiliser l’opérateur link:, suivi du site de son choix. Un bon moyen de savoir quels sites web vont ont récemment cité !

Exemple : link:blogdumoderateur.com

Limiter la recherche aux titres ou aux URL

Des opérateurs permettent de border sa recherche :

inurl: pour rechercher les pages incluant le mot clef dans leur adresse Internet

intitle: pour limiter la recherche aux pages incluant le mot clef dans leur titre

Ces opérateurs peuvent être combinés et le préfixe all peut être ajouté pour rechercher uniquement les pages incluant un mot dans son URL ou dans son titre.

Rechercher les pages similaires

L’opérateur related: permet de rechercher les pages similaires à une autre. Par exemple, la requêterelated:lemonde.fr indique une liste de sites d’informations. Cette fonctionnalité est d’autant plus performante que le site est reconnu et clairement identifié par le moteur de recherche.

Visualiser l’ancienne version d’une page grâce au cache Google

C’est une fonctionnalité très pratique, dans de nombreux cas. Régulièrement,

Google sauvegarde une copie des pages qu’il visite. Si celles-ci changent et que vous souhaitez visualiser une ancienne version, pensez à regarder du côté du cache…

Mais attention : c’est assez aléatoire, le moteur de recherche ne sauvegarde pas toutes les pages et le timing n’est pas forcément le bon suivant votre besoin. Sachez que vous pouvez également retrouver une page qui n’existe plus et la visualiser.

Pour se faire, il suffit passer par la recherche sur Google, survoler un résultat, et cliquer sur « En cache », lorsque la fonctionnalité est disponible. Si vous connaissez l’adresse Internet du site à vérifier, vous pouvez utiliser l’opérateur cache: suivi de l’URL du site en question.

La recherche sur Google Images

Pour rechercher des images, le mieux est encore d’utiliser Google Images. Le moteur permet d’obtenir des résultats très précis, suivant le format voulu, la taille ou encore l’origine du visuel.

Rechercher des images similaires

Fonctionnalité géniale de Google Images, vous pouvez rechercher les images similaires à une autre. Il vous suffit de cliquer sur le petit appareil photo, présent à droite du champ de recherche.

Ensuite, vous avez le choix : vous pouvez utiliser une image présente sur votre ordinateur ou sur le web.

Le cliquer-glisser (drag and drop) est même supporté ! Google vous dévoile ensuite les sites où l’image en question est présente et vous indique les images similaires qu’il a trouvé.

Cette fonctionnalité permet notamment de trouver une image de meilleure qualité, connaître les sources d’un visuel ou dater plus ou moins précisément la mise en ligne d’une photographie.

Source de l'info : clique ici

Pour accèder à Google avancé clique ici





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Lettre du MOOC c Français du 22 Octobre 2012

Lettre du 24 Octobre 2012

Le modèle Claroline Connect

Biographie de Jacob Jacotot

Jacob Jacotot

Panorama et dernières évolutions dans le monde des médias sociaux

Réseaux sociaux : engagement personnel et engagement collectif

Tout au long de l’atelier, je pense souvent à ce qu’écrit Bill Ferriter : ce qui les motive vraiment, c’est surtout la possibilité de conversations puissantes sur des enjeux qui les passionnent.

Et puis, il y a le défi pour un formateur de savoir gérer les différences : l’appropriation personnelle des outils se fera par étape, d’un individu à l’autre. Pour certains, c’est une substitution directe (amélioration) et pour d’autres, on voit déjà

Une redéfinition (transformation) de la tâche. Leurs limites : leur créativité et leur engagement. Leur appui : le groupe lui-même : affiliations spontanées, entraide, esprit de collaboration et belle collégialité.

« Les technologies nous ont condamné à devenir intelligents. » (Michel Serres)

Il importe de préciser au groupe d’apprenants que typiquement, après une phase exaltante (effet de nouveauté), il y a /aura un certain relâchement, suivi d’une phase d’intégration et de choix pertinents (tel qu’illustré dans le graphique de Joe Betts-Lacroix).

Cette croissance personnelle est jumelée à une croissance de l’essor de la communauté. Occasion de présenter le rôle essentiel des gestionnaires de communautés en ligne, une profession qui n’existait pas/peu il y a 3 ans à peine.

La métaphore du gestionnaire « jardinier » de communauté a sa place ici.

Mais il faut aussi parler de pérennité d’une communauté en ligne : le cycle de vie de l’adhésion à une communauté en ligne illustre bien que le réseau attirera des nouveaux ‘passants’, qui y adhéreront, qui y contribueront et qui deviendront les ‘vétérans’ d’une communauté pour éventuellement s’effacer un peu plus pour laisser la place à d’autres (mais conditionnel à une communauté d’intérêt qui saura se renouveler et rester pertinente).

Dans un contexte dynamisé et toujours pertinent, la communauté accueillera de nouveaux membres, attirés eux aussi par le potentiel d’apprendre et de co-apprendre.

Table ronde - Réseaux er recherche d'emploi

Jean-Marie Gilliot

Twitter Lyon 1

Les acquis d'apprentissage

Les digitals natives

Marcel Lebrun Décembre 2012

Marcel Lebrun

Les Processus d'apprentissage par le numérique

Objectifs d'apprentissage, scénarios et modalités technopédagogiques

Guide d'utilisation des réseaux sociaux

Le numérique pour enseigner et apprendre

Mon memolane

Créer un groupe sur LINKEDIN

Comment débuter avec Evernote

Comment débuter avec Evernote : tutoriel

Le service Evernote vient de mettre en ligne un guide d’apprentissage complet en français pour utiliser Evernote, « Débuter avec Evernote », récapitulant l’installation du logiciel, la création de compte et les paramètres pour enregistrer et synchroniser les contenus de son carnet de notes .

Evernote est un logiciel qui couple un service en ligne et une application à télécharger (ordinateur, smartphone) permettant de capturer (notes, textes, images, sons…), de classer et d’annoter ces fichiers, d’y acccéder depuis un ordinateur ou un appareil mobile et de retrouver rapidement ces différents documents.

Disponible en français, l’application Evernote permet de synchroniser chaque espace/portfolio créé appelé « carnet de notes » (à partir d’un même compte utilisateur). Le logiciel est gratuit dans sa version de base et peut être utilisé en mode projet par exemple.

Au sommaire du guide :

A noter que l’espace Tips & Stories (en anglais) de l’application expose des cas pratiques d’utilisation d’Evernote notamment dans le monde scolaire et universitaire .

Licence : Géographie : France

Mots-clés : e-portfolio , evernote , web 2.0

Tutoriel Prezi

Tutoriel Pearltrees

Tutoriel Pearltree

Tutoriel Pearltree
Tutoriel Pearltrees

Tutoriel Evernote

Tutoriel TUMBLR

S'initier au PIPES

S'initier au PIPES
François MAGNAN

PIPES de Yahoo

Tutoriel PIPES

Le Page Gilles est l'auteur de ce post :

Test de Yahoo pipe


#veille #curation #yahoopipe

Objectif du test : créer un Yahoo! pipe sur la curation

Le voici (c'est imparfait, mais ça fonctionne)
: http://goo.gl/SUiP6
Comment :

1 - je me suis basé sur un tutoriel trouvé sur slideshare
:http://fr.slideshare.net/ErwanVoyelle/crer-un-flux-avec-yahoo-pipes

2 - J'ai choisi des flux :
- une recherche sur la curation dans les news par Google,
- les fils RSS de 2 scoop.it (Veille digitale et Formation 2.0)

3 - j'ai testé les filtres, le tri par dates et la troncature pour limiter aux 30 derniers résultats trouvés)

4 - La publication est facile à faire

5 - la conception est graphique, elle a un côté magique de carte mentale, comme en témoigne la capture d'écran

L'étudiant connecté

Vidéo TED Suga Mitra

Tutoriel PIPES

Georges Siemens

Remettre l’école à qui de droit

Conférence de Jacques TARDIF

Blibliographie de Jacques Tardif à lire ici

Regards croisés de veille

Claroline

Et si on demandait l'avis des étudiants

Ecriture numérique et éditorialisation